Vintage et prolétarien!

J’ai l’immense plaisir de partager ici la publication de «Plume-Patte», un livre qui raconte les aventures picaresques d’un sorcier de la mécanique. Ce n’est pas connecté, c’est sévérement genré dans son genre et ce n’est pas du tout végan. Entre un petit bistrot et un étrange garage, entre une réparation de voiture et un solide casse-croûte, s’anime une galerie de personnages combinards et hauts en couleur. Cet ouvrage se place sous les auspices du Georges Brassens des «Copains d’abord» et dans le sillage des «Gens de peu» du sociologue Pierre Sansot.

 

Article paru dans le « Le Courrier Picard » du 27.06.21
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Article paru dans le « Nouvelliste » (ainsi que La Côte et Arc Info) du 11.05.21
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Article paru dans le « touring » du 04.04.21
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Article paru dans le « VSD » du 02.04.21
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Article paru dans « 24 heures » du 29.03.21
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Article paru dans la « Tribune de Genève » du 27-28.03.21
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Article par « Le Regarde Libre » (02.03.21)
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Interview par Laurent Pittet pour le site Roaditude (13.01.21)
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Article paru dans le « Dauphiné Libéré » du 13.01.21
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Article paru dans la « Région Nord Vaudois » du 07.01.21
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Article paru dans le « GHI » du 21-22.12.20
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Article paru dans le « Journal de Moudon » du 18.12.20
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Article paru dans le « Lausanne Cité » du 17.12.20
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Article paru dans le « Journal de Cossonay » du 11.12.20
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Article paru sur « Le Courrier » le 10.12.20

 

France d’en bas romancée

Avec Plume-Patte, Philippe Villard signe un roman centré sur le milieu populaire de ses origines.

Marc-Olivier Parlatano

 

Un camion surchargé de grumes arrive, un conducteur ne le voit pas… Mais Plume-Patte de Philippe Villard ne recèle pas qu’un drame routier. Touché, puis inspiré par Le quai de Ouistreham, de Florence Aubenas, l’écrivain français s’est tourné vers son passé, du temps où son père faisait affaire avec des démolisseurs d’autos. Il signe un roman centré sur un milieu populaire, un petit monde qui est celui de ses origines. L’ouvrage fait mouche avec ses dialogues qui sonnent vrai et ses lieux – cafés, garages – emblématiques de l’intrigue.

Plume-Patte est le sobriquet du personnage principal. Dans un pays où le néolibéralisme a bouleversé les liens sociaux, l’homme et son épouse vivent tant bien que mal une dualité émaillée d’incidents. Lui s’est habitué à un cadre de vie primaire, elle le souhaiterait plus policé. D’une auto à réparer à une autre, l’existence de Plume-Patte est émaillée de beuveries, tripes et agapes dans divers patelins. Plume-Patte donne vie non sans humour à une société peu visible – sauf lors des manifs des gilets jaunes – mais bien vivante, Philippe Villard rendant compte avec verve de ce «monde englouti» dont il s’est éloigné.

 

 

 

Article paru sur le blog de Francis Richard, le 01.12.20
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Plume-Patte, de Philippe Villard

Par Francis Richard

 

Ce monde est-il englouti comme le suggère la progression religieuse des chapitres? Non. Mais il a évolué et reste invisible pour ceux qui d’en haut décident ce qui est bon pour lui, sans scrupule à le voir disparaître s’il empêche la machine étatique de tourner rond pour eux qui en profitent.

Le roman de Philippe Villard est précieux, parce qu’il montre qu’on peut vivre autrement. Ce ne sont pas l’ultralibéralisme, qui est un fantasme, ni les nouvelles technologies qui ne le permettent pas, mais les atteintes aux libertés individuelles auxquelles tenait Georges Brassens, souvent cité.

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